Disclaimer-There will be errors 🙂
I am taking this fascinating REL 2014 MOOC Cours en Ligne Ouvert et Massif) #CLOM_REL. I found out about it from a client. I had inquired specifically about a MOOC en français, avec un ‘focus’ sur le domaine de l’éducation. Ce n’est pas facile de trouver! Il faut vraiment faire partie d’une communauté éducative et francophone. Alors I am thankful to work with such a community who can connect me to these types of opportunites.
Pourquoi suis-je obsédé avec la langue française?
I recently watched ‘Househunters International’ about an American Doctor who upon completing her medical studies, relocated to Paris and works in the field of tele-health (Planning a Future in Paris, France). Essentially, she connects virtually through robotic technology with patients in the US. Through technology, she is living her dream by working in America but living in France.
I am a little like that woman. Un peu de moi.
J’étais née au Québec; alors ma première langue était français. Mais les politiques des années 1970’s étaient dur, alors quand j’avais deux ans ma famille a déménagé a l’Ontario, dans une petite communauté rurale. Ma famille du côté de ma mère est française; ma grand-mère a vécu avec nous après sa retraite comme enseignante française. Pendant mon éducation M à 13e, ma mère m’a enregistré dans les programmes français qui étaient disponibles : la maternelle moitié français-moitié anglaise et le programme d’immersion (moitie français pour toutes mes cours) depuis le 7e jusqu’au 13e.
After that I never spoke in French. I even attended a fully bilingual university for not just one degree, but two. What a pity. That’s why there’s that saying about hindsight.
Après compléter ma maîtrise en éducation, j’ai décidé de commencer ma carrière comme enseignante à la Corée du Sud. Enfin, j’ai déménagé au Taiwan ou j’avais trouvé un emploi comme professeur de l’anglais. Comme Dave Courmier, c’est là où j’ai commencé de savoir le pouvoir de la technologie. C’était là ou j’ai créé mon premier site web et l’expérimentation avec le ‘flipped classroom’.
During summer break, I decided to take an 8 week program in Mandarin Chinese at National Taiwan University, a gorgeous campus just minutes from my house. At the end of those weeks, still barely able to communicate beyond simple requests, I decided that French might be a better option for me as I started considering my re-integration back to Canada. I found a teacher from Quebec who I worked with one on one, and so began a slow percolating obsession.
Language is a portal into culture. When it is your second language, there is a ‘mirage’ quality as well. Each time you reach another peak, you realize you are lost in the mountains.
Pour moi, mon trajet est long, douloureux, mais aussi gratifiant. Ma douleur est à cause de mon accent. Au moment que j’ouvre ma bouche, je suis immédiatement identifié comme anglophone. This annoys me tremendously because I long for, I can taste, I dream of, the fluid rolling ‘r’s, the organic cadence and forthcoming of words like a poetic stream.
However, it’s not only that.
It’s also the culture.
Le plus que j’apprends, le plus que les nuances, les subtilités de la culture française s’ouvrent. Et c’est un monde magnifique, tellement différent que le monde anglais. La dureté des sons vocaux; la préoccupation avec le travail et l’efficacité et de l’argent; there is an industrial feeling; des fois, une frigidité; une fermeture perceptible avec les anglos.
I have often been called an idealist, a romanticist, a non-realist; however, it is my world that I am constructing, and these are my observations.
Je travaille présentement avec plusieurs clients francophones, et la façon dont ils travaillent ensemble est une métaphore pour les aspects que j’aperçois aussi dans la culture française.
Nous résidons assez proche du Québec. Par voiture, la frontière est 20 minutes. C’est plus rapide, plus facile de faire du magasinage au Pointe Claire, Québec qu’Ottawa.
N’importe où, Pointe-Claire, Montréal, la ville du Québec, il y a toujours un courant (undercurrent) qui exprime les valeurs, la culture, les priorités. Et il y a aussi une relation directe avec le niveau de langue française et la compréhension culturelle.
Pour moi, il y a toujours un ‘longing’, un désir, non seulement d’avoir un niveau de bilinguisme qui me permettra de changer assez facilement, d’être assez confortable en français qu’anglais, mais aussi pour connecter, de faire partie de cette identification francophone. Des fois j’ai le sentiment d’une fluidité avec chaque nouveau niveau de langue que j’accède. J’ai des moments où je deviens, where I soak in, cette culture. Ce sont les rares moments où les mots viennent naturellement, où je peux prononcer as I imagine them, where the struggle melts away.
To bring this back to my obsession, I am certainly not discounting the relative advantages afforded me in my career from speaking a world language like English; however, pour moi cette continuation d’apprentissage de langue française ouvre d’autres possibilités, d’autres façons d’être (of being) dans cette vie. Il existe un perceptible sentiment familial et familier qui m’attire toujours comme les vagues de l’océan-vous flottez plus en plus profondément.